Expositions

Des paysages présentes révèlent la vue intéressante et magnifique de la région Auvergne.
Les photos sont réalisées en technologie analogique classique et ont été prises avec mon appareil photo préféré – le grand format « Linhof ». Les avantages de cette technologie sont que l’image est construite sur une couche d’émulsion d’une plaque, contenante plusieurs billes de structure non uniforme, qui capture mieux les nuances de l’image, par opposition à une photo numérique constituée de pixels de même taille. D’autre part, ce type d’appareil photo permet un positionnement de l’objectif incliné et décentralisé, ce qui permet d’obtenir une plus grande profondeur d’image – une caractéristique qui fait défaut dans la plupart des appareils photos numériques. Un autre défi est que ce type de prise de vue implique une plus grande précision et une connaissance complexe du choix de l’angle de prise de vue en fonction des conditions d’éclairage actuelles, car le nombre de photo en termes économiques est limité et le résultat final ne peut pas être vérifié immédiatement (comme sur l’affichage numérique).
Cette exposition remet la question, débattue souvent, de l’avenir de la photographie analogique : reste-t-elle élitiste, attirera-t-elle de plus en plus de fans parmi les jeunes photographes ou restera-t-elle simplement dans l’histoire comme un moyen, inspirant des vieux maîtres ...

L’exposition présente une tentative hâtive de créer un « portrait » de l’homme européen du ХХІème siècleaprès une promenade des objectifs en France, en Espagne, en Italie, en Suisse et bien sûr en Bulgarie.

Je voulais montrer l’espoir à travers le bonheur des gens ordinaires. A travers des scènes de la vie quotidienne pour la plupart, prises sur le vif, je cherche le sourire des personnes, que ce soient des enfants, des adultes ou des personnes âgées.

Participation avec des paysages d’Auvergne dans l’exposition organisée par ORACLE (Office Régional d’Action Culturelle de Liaisons et d’Échanges).Участие с пейзажи от Оверн в изложбата, организирана от ORACLE (Регионална служба за културни връзки и обмени).

Participation avec des paysages d’Auvergne dans l’exposition organisée par ORACLE (Office Régional d’Action Culturelle de Liaisons et d’Échanges) que présente plus d’une centaine de photographies en noir et blanc. L’exposition met à l’honneur le photographe clermontois Thibault Feuillade, disparu en septembre 2016, pour qui la photo était « le moyen de figer et de retranscrire un instant unique et pourtant immédiatement passé ».

Exposition commune avec Marie-Odile Nicolas sur les thèmes traitant de la nature et du patrimoine, pour lesquelles nous nourrissons un intérêt partagé. Plus qu’un objet de communication, la photo constitue pour moi un véritable outil d’expression des sentiments. Je présente aussi des natures mortes aux couleurs éclatantes sans retoucher le moins du monde mes prises de vue.

« L’image est une création pure de l’esprit… »

L’exposition présente une tentative hâtive de créer un « portrait » de l’homme européen du ХХІème siècleaprès une promenade des objectifs en France, en Espagne, en Italie, en Suisse et bien sûr en Bulgarie. Si des milliers de clichées ont réalisé au cours de ces voyages, il en a extrait 63 – comme un clin d’oeil à mes âges, 63 ans.

Les photos apportent un sentiment positif de la rencontre avec le Monde. Parfois, celui-ci se perçoit avec notre propre conception des choses, des lieux, des sentiments.
L’homme peut rester anonyme mais les images des personnes avec des sourires francs, des espoirs explicites, des plaisirs non masqués, des regards facétieux ou des gestes spontanés sont des signes singuliers qui portent un sens optimiste ou une idée réaliste pour son époque.

Chaque photo est un témoignage de la mentalité de son auteur, mais dans le même temps, avec son message caché, elle métamorphose chacun d’entre nous en un chercheur de valeurs humaines éternelles, inévitablement liée avec les traditions du passé de chaque nation.

Participation à une exposition collective organisée par les membres de l’APSA (Amateurs Photographes & Cinéastes d’Auvergne).

Participation à l’exposition consacrée au 120ème anniversaire de l’APSA (Amateurs Photographes & Cinéastes d’Auvergne)

Les beaux paysages de l’Auvergne, les secrets de son histoire, les formes naturelles uniques ressemblent fortement à la Bulgarie. Les montagnes, les forêts, les arbres, les rivières ont un caractère similaire. Le défi consiste à sceller les caprices de la nature et à découvrir sa beauté naturelle de toutes les saisons.

A l’occasion de l'adhésion de la Bulgarie et de la Roumanie à l’Union Européenne, la municipalité de Mâcon a organisée une exposition.

Y fut présenté la Bulgarie avec ses monuments distinctifs, ses sites historiques et ses traditions folkloriques.

Les œuvres présentent le Paris contemporain et les légendes éternelles de cette ville. D’une manière originale, les photos essayent d’incarner les lumières ultramodernes et bigarrées de Paris, les reflets qui s’entrelacent avec les miroitements des coupoles dorés des palais et des cathédrales séculaires. Et cette féérie de la capitale crée une atmosphère d’harmonie et de cohabitation inattendue entre l’Ancien et la Modernité, entre le mythe et la réalité, entre la somptuosité aristocratique du passé et l’élégance moderne du présent.

Les lieux emblématiques de la capitale française avec leurs lumières et leurs reflets de la vie nocturne sont toujours un défi. La Tour Eiffel, l'Arc de Triomphe, la Place de la Bastille, le Louvre, Notre Dame, les réflexions de nuit de Paris dans les eaux de la Seine, la célèbre avenue des Champs-Élysées…

« Une image peut dire plus que 1000 mots... »

L'exposition est mon récit photographique sur l’île portugaise de Madère – un endroit tranquille et exotique avec la combinaison parfaite du climat tropical. J’ai pu admirer aussi ses forêts toujours vertes, ses falaises, ses jardins magnifiques et ses monuments historiques. Dans l'une des légendes, l'île est appelée « Le baiser de Dieu » en raison de son caractère unique. J'ai eu la chance d'assister à la fête traditionnelle des fleurs avec ses attractions locales dans la rue. Le festival présente tous les types de fleurs de Madère.

L’exposition comprend des photographies en noir et blanc, elles portent le caractère du reportage qui révèle la vie dans les pays de l’Est et les pays Baltes.

Prendre des photos de comportement des gens permet de montrer leurs sentiments et leur humanité véritable. Le bon photographe doit « participer » à la vie sans s’immiscer dans son évolution.

Au Parlement Européen à Bruxelles, la Commission Européenne a organisé une exposition de bienfaisance consacrée à la beauté du grand fleuve Danube et aux pays européens qu’il traverse – l’Allemagne, l’Autriche, la Hongrie, la Roumanie et la Bulgarie.

J’ai sélectionné des paysages, des lieux uniques en Bulgarie, qui montrent sa nature charmante et gardent le souvenir du passé historique et de la tradition culturelle.

J’ai choisi des paysages, lors de mes nombreux voyages dans la montagne bulgare, si pittoresque.

Pour faire une bonne photo le photographe a besoin de connaître très peu les techniques. Le processus de prise de vue est une condition nécessaire, mais le plus important est d’avoir en vue ce qui doit être « scellé » sur la pellicule. Ceci est une école de vie. Comme chaque personne, le photographe peut être nostalgique, triste ou joyeux mais son état influence forcément la photo. Ainsi, nous avons donc un style, une écriture qui chantent notre habileté...

Par le biais de l’art photographique j’ai voulu provoquer la curiosité sur le sujet d’un pays étrange, presque exotique pour les Français. Le meilleur récit reste la photo parce qu’elle a l'avantage d'être un outil universel pour la communication humaine entre toutes générations et nationalités et elle parle toutes les langues…

J’avais eu au moins deux défis devant moi quand j'ai décidé de faire une exposition sur le thème de Veliko Tarnovo en hiver. Le premier, les températures sont très basses et il est très difficile de photographier. Le deuxième défi a surmonté est que la ville a déjà été, très souvent photographiée et pour le photographe qui connaît bien la ville, c’est une difficulté supplémentaire que de trouver un angle d’attaque personnel. Tout est connu – le point de vue, la lumière, la façon dont la ville semble être quand elle est enveloppée de brume ou éclairée du soleil d’hiver.

Lors du passage à l’Euro en France, j’ai profité d’un voyage à Paris pour photographier les monuments, les ponts, les églises illumines du sceau de « L’Euro nouveau ».

Le plus important pour le photographe est la qualité du regard de l’autre pour comprendre la réalité de monde. Si la photo reste une image elle n’est pas moins un langage comme la poésie.

L’exposition a été organisée par l’agence de voyage avec laquelle j’ai visité La Macédoine.

Les villes Ohrid, Bitola et Skopje sont uniques avec de vieilles églises, des rues pavées, des maisons pittoresques. J’ai senti que je connaissais le pays et le peuple depuis des années. Le lac magnifique d’Ohrid – le plus profond d’Europe et le plus ancien dans le monde – évoque la création parfaite de la nature.

Participation à l’Exposition photographique internationale – 1990.

Participation à l’Exposition photographique internationale – 1989.

L’exposition a été organisée par le magazine « Femme d’Aujourd'hui », un reportage de la vie quotidienne. De nombreuses photos ont été publiées dans les pages du magazine.

Paysages pittoresques des environs de Veliko Tarnovo.

Reportages de Saint-Pétersbourg et Riga.

Reportages de Saint-Pétersbourg, Russie.